lundi 9 mai 2011

Chuck


On dit que les séries qu’on regarde nous ressemblent. J’ai lu il y a longtemps dans un article que par exemple les amateurs de glee étaient des gens optimistes et un peu naïfs. Et bien si je ne peux pas faire de conclusion hâtive pour les amateurs de glee, je suis assez d'accord pour le reste.
En 2009, jeune diplômée, j’ai découvert le chômage. Alors que l’une de mes amies, qui venait d’être embauchée en audit, se passionnait pour damages (dans laquelle une jeune diplômée commence a travailler dans un cabinet d’avocats acharnés et borderline, a voir), j’ai adoré regarder Chuck.
Chuck est un geek qui est allé à Stanford, mais qui s’est fait virer dans sa derniere année, accusé d’avoir triché par son meilleur ami et colloc (et s’est aussi fait piquer sa petite amie par ce vil personnage). Aujourd’hui, Chuck, célibataire, ne traine qu’avec des geeks un peu bizarres et ratés, et travaille au « buy more », un hypermarché.
Notre héros est donc  un pur raté, en lequel se reconnaitront les ratés, les geeks, et ceux qui ont un peu d’humour. Sauf qu’un jour…
il se passe beaucoup de choses dans le premier épisode, mais je vous laisserai regarder. L’idée de la série est que Chuck devient un espion. Il rencontre une fille canon, et toute sa vie change. La plupart des poursuites d’espionnage se passent autour du supermarché, et le 25eme degré est présent tout du long. On ne s’ennuie pas, on rigole bien, et on adore les personnages, surtout tous les geeks bizarroïdes du Buy More. Et puis on reconnaît plein de citations de notre culture adolescente, alors on adore.
Non je ne parle pas toujours de moi en disant « On », donc on dira qu’on comprenait mes amis et moi (enfin tous ceux qui regardent Chuck, et a préciser, ils ne sont pas tous chômeurs !).
Bref, vraiment à voir !

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